vendredi 1 septembre 2017

20 commentaires :

Le dressing de Léna | De jean et de chrome




C'est l'heure de votre rendez-vous mode avec ma copine Léna et son look bien à elle, je pense que vous commencez à la connaître depuis le temps (elle, et ses cheveux aussi) même si c'est vrai qu'elle n'avait pas fait d'apparition depuis un moment. D'ailleurs, si vous avez envie de retrouver ses articles précédents c'est par ici. Comme d'habitude on a pris les photos dans notre jolie ville rose, dans le quartier Saint-Sernin cette fois.



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Cela faisait longtemps que tu ne m'avais pas vue sur le blog, et il aura fallu que j'attende la (presque) fin de l'été pour réapparaître. Il faut dire que sous ce soleil bouillant et cette chaleur, j'avais plutôt tendance à rester confinée bien au frais chez moi, et très peu vêtue de surcroît !

Alors nous avons profité de cette journée agréablement ensoleillée pour sortir de nouveaux clichés. A défaut d'admirer mon bronzage, petit zoom sur ce nouveau look.





Cette robe en jean.


Ce que j'aime : sa ceinture corset intégrée, sa coupe simple, ses finitions effilées, sa matière jean légère pour l'été, sa longueur parfaite, et sa fermeture éclair dissimulée.
J'aime la porter pour un look très glam, et avec des baskets pour un côté plus décontracté.
Son prix : seulement 12,95€ en soldes chez Zara.



Ces sandales chromées.

Ce que j'aime : leur flatform bi-matière corde et liège, leur matière chromée, leur couleur gris anthracite qui s'accorde avec tout, leur côté sophistiqué tout en simplicité, et leur confort.
Avec un jean ou bien une robe, elles boostent un look simple.
Leur prix : 35,99€ chez Pimkie.





Ce sac chromé.

Ce que j'aime : ce rose chromé trop cool, sa taille parfaite pour éviter d'emporter sa maison avec soi, et sa lanière modulable permettant de passer du sac à dos au sac bandoulière.
Il est super joli, très peps, et je l'aime vraiment beaucoup.
Son prix : 19,99€ chez Pimkie.





Cette casquette.

Ce que j'aime : son satin noir brodé de fleurs bleues et rose aux détails or, sa visière de velours bleu marine, et sa lanière réglable qui se dissimule à l'arrière. Ce mélange de couleurs parfaitement choisies, ornées de fil doré, pour une broderie rétro aux influences japonisantes.
Son prix : 12,99€ chez Pimkie.
La coque iPhone : 4,99€ chez Pimkie.





Ces bijoux.

Ce que j'aime : leur couleur or, leurs détails aux influences orientales, et leur côté glam et imposant. J'adore les bijoux dorés et imposants, je ne porte que ça, j'ai craqué sur ces bagues.
Leur prix : 7,99€ le lot de 3 bagues, 7,95€ le bracelet de bras chez Pimkie /6,95€ les créoles chez H&M
La dent de requin me vient de mes parents, et a été incrustée dans une monture en or par un bijoutier. Mon bracelet est en or et me vient de mon arrière-grand-mère.









Mille baisers et à très vite sur le blog
Léna





Et vous, le look jean et chrome vous aimez ?







lundi 7 août 2017

34 commentaires :

Un teint à la pêche avec Too Faced



Depuis quelques temps déjà on entend beaucoup parler d'une collection de maquillage colorée et à l'odeur sucrée. Vous l'aurez sans doute deviné, je parle bien entendu de la Sweet Peach Collection de Too Faced, et lors d'un passage dans une boutique très connue je suis tombée sur une petite boîte orangée (et soldée !) qui a de suite attirée mon attention. Il s'agit du blush individuel Papa Don't Peach, pour lequel j'ai absolument craqué et dont on va parler aujourd'hui.


Papa Don't Peach Too Faced

Le packaging

Le fard à joue se présente dans un boîtier métallique, qui est solide, résistant et se ferme grâce à un aimant (ça sécurise, c'est un bon point !). Il y a également un miroir d'une taille tout à fait correcte, c'est très pratique, notamment lorsque l'on part en vadrouille. On notera le graphisme beaucoup trop mignon sur le dessus de la boîte, cette petite pêche (logo de la collection) est tellement adorable, vous ne trouvez pas ? Avec les inscriptions dorées et le dégradé orangé, le rendu est parfait.


L'intérieur est tout aussi joli que l'extérieur. On retrouve notre fameuse petite pêche en bas à droite du miroir, et également sur la poudre avec le nom du blush "Papa don't peach" inscrit dessus. Il faut que je vous l'avoue, je suis faible et je fonds totalement devant les choses mignonnes comme ça.


Le produit

Commençons par la texture, c'est tout simplement un blush poudre au fini très naturel et velouté une fois sur la peau. C'est peut être étonnant pour un blush, mais je suis obligée de mentionner l'odeur, car oui, cette petite merveille sent la pêche et c'est un vrai bonheur (si je pouvais je passerai mon temps à renifler mes joues, ne me jugez pas).


La couleur est donc un pêche irisé (on ne s'en doutait pas hein) hyper lumineux mais quand même assez doux. Il est facile à doser et à travailler, on peut faire un rendu très naturel comme plus prononcé, c'est extrêmement modulable. J'aime vraiment beaucoup son côté lumineux qui peut permettre de zapper l'étape de l'enlumineur tellement il se suffit à lui même.


Alors, bilan ?

Pour moi c'est un sans faute, c'est un blush de très bonne qualité, autant le packaging que le produit en lui même. Le boîtier est solide, pratique à transporter (il manque peut être un petit pinceau). Un rendu modulable, et cette couleur pêche irisée qui va à toutes les carnations en donnant un teint frais et lumineux. Mention spéciale pour l'odeur dont je ne me lasse pas.

► Blush Papa Don't Peach - Too Faced, 29€




Et vous, vous connaissiez ce blush ? Il vous plaît ?





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lundi 17 juillet 2017

40 commentaires :

Ces petits gestes écolos dans ma salle de bain


Pour la planète, le moindre petit geste compte, et chacun peut participer à la protection de l'environnement à son échelle, avec ses moyens. J'ai déjà évoqué le fait que ces derniers mois certains aspects de ma vie ont évolué, voire radicalement changé, notamment dans ma façon de consommer. Vêtements, alimentation, produits ménagers, cosmétiques... Tout a été chamboulé, et j'essaye encore et toujours d'améliorer mon mode de vie. Aujourd'hui je voulais vous présenter ces petits gestes écologiques tout simples et accessibles à tous qui sont dans le quotidien de ma salle de bain.


Ces petits gestes écolos dans ma salle de bain

Adieu cotons jetables, place à ceux lavables

Il y a déjà plusieurs années que les cotons classiques ont déserté ma salle de bain, lorsque je me suis rendue compte de la consommation scandaleuse que j'en faisais. On n'y fait pas forcément attention mais mis bout à bout (regardez déjà rien qu'en vous démaquillant et avec votre routine visage),  c'est un tas de cotons énorme que l'on utilise au quotidien. Il est très facile de les remplacer de manière responsable et écologique par des lingettes/cotons réutilisables. C'est exactement le même principe qu'avec un coton classique, sauf qu'à la place de jeter après utilisation, vous lavez en machine avec le reste de vos vêtements (dans un petit filet adapté, comme pour les sous vêtements). C'est un investissement de départ, mais c'est très économique sur la durée !

Il en existe de différentes marques et adaptés à tous les types de peaux, voici une petite sélection en ligne, mais vous en trouvez facilement en magasins type biocoop :




Retour au bon vieux savon

Les flacons de gels douche font aussi des déchets inutiles, en tant qu'ancienne collectionneuse (vous prendriez peur, j'ai toujours eu une dizaine de flacons différents d'avance...) c'est une chose un peu compliquée mais c'est une question d'habitude. Il existe tout plein de savons, respectueux de votre corps, de l'environnement, fait artisanalement, avec de chouettes senteurs... De quoi plaire à tout le monde sans nuire à la planète.


Dentifrice solide et brosse à dent recyclable

Pour éviter de faire des déchets supplémentaires avec des tubes de dentifrice, à la maison on utilise du dentifrice solide. Il se présente dans une petite boîte et une fois vide, vous ne rachetez que la recharge, pas d'emballage inutile ! Pour l'utiliser rien de plus simple, on frotte sa brosse à dent humide directement dessus. C'est surprenant au début, car ça fait très peu de mousse, mais comme toujours : c'est une question d'habitude. J'ai également opté pour une brosse à dent en bambou, qui est entièrement recyclable, mais également biodégradable, compostable et sans Bisphénol A. Elle est donc bonne pour la bouche, les dents mais aussi pour l'environnement.




Les cotons-tiges ? On oublie 

Saviez vous que l'on jette des milliers et des milliers de coton-tiges au quotidien ? C'est un vrai fléau... On en retrouve aussi beaucoup dans les océans et sur les plages. Pour remédier à ça, j'ai investi dans un nettoyeur d'oreille écologique et économique, il s'agit d'un petit bâtonnet en bambou qui permet de retirer en douceur le cérumen (ça empêche la formation de bouchons d'oreille en plus). Dans certains pays comme la Chine ou le Japon il est utilisé par la majorité de la population. C'est pratique, très simple d'utilisation et surtout bon pour la planète.



Voilà les quelques petits gestes du quotidien dans ma salle de bain pour limiter les déchets, et préserver au mieux la planète. Ce sont des choses simples à mettre en place, facilement accessibles, et dont l'habitude vient très vite, vous vous y mettez aussi ?!




Et vous, c'est quoi vos petits gestes écolos ?





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lundi 10 juillet 2017

22 commentaires :

Ce sentiment d'échec



Il y a un sujet que je veux aborder depuis un moment sur le blog mais que je repoussais sans cesse, aujourd'hui il est temps de poser mes mots pour de bon. Je voulais vous parler des études supérieures et de mon rapport (assez compliqué pour tout vous dire) avec. S'il y en a qui trouve leur voie très jeune, qui savent ce qu'ils veulent faire très tôt (même parfois avant de terminer le lycée), ce n'est pas le cas de tout le monde. Depuis l'obtention de mon baccalauréat (il y a pas mal d'années maintenant...) j'ère sans trop savoir où je vais dans le monde impitoyable des études sup'. Si l'on parle plus facilement des réussites, je pense qu'il est aussi important de s'exprimer sur les échecs car je ne suis probablement pas un cas isolé; bon, et pour dédramatiser un peu la chose je vais illustrer l'article avec des gifs hein, comme à mon habitude.



La difficulté de trouver sa voie


Je vais rentrer dans ma sixième année d'études supérieures et non, je n'ai toujours aucun autre diplôme qu'un baccalauréat littéraire obtenu en 2012. Pourtant ce n'est pas faute d'avoir essayé et de persévérer encore cinq ans plus tard. J'ai commencé par me réorienter une fois, puis deux, puis une nouvelle fois encore... Au début on se dit un an "de retard" ça va ce n'est pas catastrophique, il y a un bon nombre de gens dans le même cas que moi on s'en fiche ! Et puis les années se rajoutent et on commence à sentir l'écart d'âge avec les autres personnes de la formation, le ras le bol de refaire encore et encore une première année. Lorsque je commence à étudier dans un nouveau domaine d'études ça me plait les premiers temps, et puis je décroche petit à petit, souvent durant la période des partiels du premier semestre, c'est comme si ma motivation du début filait sans que je puisse y faire grand chose.




Outre le fait que je me mets la pression toute seule, je pense que la société contribue également à ça. On nous fait comprendre très tôt que sans diplômes, sans formations, il est impossible d'obtenir un emploi correct ou même un emploi tout court, on nous met donc une pression monstre lors de la dernière année de lycée. Il y a aussi une sorte de "compétition" entre les élèves et c'est un truc qui m'angoisse plus qu'autre chose, je suis dans l'incapacité de travailler pour "être la meilleure", ce n'est absolument pas ma façon de fonctionner; si certains y arrivent comme ça tant mieux mais ce n'est pas mon cas.


La comparaison aux autres


Je sais qu'il ne faut pas se comparer, que chacun y va à son rythme mais c'est parfois dur de s'en empêcher, je trouve même que c'est un passage inévitable. Je vois des personnes dont je suis plus ou moins proche avancer, obtenir leurs diplômes, se lancer dans la vie active et faire des projets pendant que moi... Je stagne.

-"Tu fais quoi toi maintenant ?
- Oh, ben je fais une première année pour la quatrième fois"




C'est difficile à accepter car il y a une sorte de sentiment d'infériorité. On se dit qu'on est moins bien que les autres, qu'on ne réussira jamais à faire quelque chose de notre vie. J'admire ceux qui ont eu un parcours parfait depuis la fin du lycée, qui passent les années sans difficultés et suivent leur chemin dans le plus grand des calmes (coucou moi j'arrive je rame derrière mais j'arrive), j'admire leur capacité et leur force de réussite.


La peur, l'échec et puis la honte


Chaque fin d'année le processus se répète, soit j'échoue aux examens soit je me décourage et j'envoie tout balader, j'ai une sorte de blocage qui fait que je panique pendant les périodes de partiels, que mon moral est au plus bas et que je suis pessimiste au possible. Je travaille là dessus avec ma sophrologue (d'ailleurs, un article sur la sophrologie ça vous intéresse ?), rassurez-vous, mais ce n'est apparemment pas suffisant car c'est la même chose, à chaque fois. Vous imaginez à quel point c'est décevant de se ramasser une fois de plus, de trébucher et de se casser la figure encore et toujours.




C'est décevant pour moi, certes, mais également pour mes proches. Mes parents m'aident encore financièrement (même si j'ai un boulot à temps partiel à côté de mes études) malgré mon âge, je dépends en grande partie d'eux, ils me font confiance et je n'arrive pas à l'honorer,(ma grand mère m'aide aussi, ce n'est sûrement pas facile pour elle tous les mois mais elle y tient) car chaque année c'est pareil : j'échoue



Relativiser 


Le verdict vient de tomber, cette année encore je n'ai pas réussi à valider entièrement ma deuxième année de licence en langues étrangères appliquées, mais j'ai décidé de ne pas abandonner lâchement comme j'ai pu le faire auparavant. Je ne perds pas mon objectif de partir vivre à Lisbonne, je ne veux pas laisser tomber si près du but. Pour une fois je veux aller au bout des choses et pouvoir être fière de moi, et rendre mes proches fiers également. Le plus important c'est d'arriver à son objectif, pas la manière dont on y est arrivé, car la finalité reste la même. Et puis de toute façon, ça ne sera jamais du temps perdu car l'on apprend toujours de ses échecs







Et vous, elles se passent / se sont passées comment vos études supérieures ?






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